Les Monts du Ru de Baulche
Voilà une ballade concoctée par mon père autour de la vallée du ru de Baulches, avec pour objectif de cumuler le plus grand nombre de bosses dans ce secteur. Ce sont des routes que je connais pour y roulé, ou y avoir roulé à maintes reprises.
Me voilà parti de Saint-Georges en direction d’Orgy, mais pas question de suivre l’itinéraire bien connu. A l’entrée du village je tourne à gauche pour rejoindre la grande route que je quitte rapidement pour celle du plateau me permettant de rejoindre Serein. Pas question non plus d’y filer directement, je bascule sur Vallan pour remonter et rejoindre directement l’entrée de Serein. Ayant manqué la bifurcation dans Vallan, je rallonge même de quelques hectomètres pour retrouver mon itinéraire.
Arrivé à Avigneau, je bifurque à gauche pour gravir une côte que je n’ai pas empruntée depuis plusieurs années. A l’époque, elle me semblait toujours dure, et encore aujourd’hui, je me suis laissé surprendre. J’avais complètement oublié la deuxième partie de cette bosse.
Je bascule ensuite sur Gy-l’Evèque, que je ne traversais pas, puisqu’à l’entrée, je tourne à droite pour remonter et rejoindre la Grilletière. La montée est assez sèche pour rejoindre le plateau, avant de plonger sur ce hameau. Après la Grilletière, je reste dans le fond de la vallée jusqu’à Prénereau. De là, nouvelle ascension pour rejoindre le plateau. La route a été refaite récemment, mais vu son état, ce n’était pas franchement nécessaire. Le revêtement est plutôt rugueux et ne rend pas très bien.
Arrivé au sommet, je constate que l’aménagement de l’intersection avec la N151 de manière à sécuriser l’intersection. Je suis la nationale sur quelques hectomètres avant de tourner pour redescendre sur Pesteau.
De là, nouvelle côte pour rejoindre le plateau, par une route que j’ai plutôt l’habitude de descendre. Il me semble même que c’est la première fois que je gravis cette route. Du silo, je pars en direction d’Usselot pour une belle descente, avant la dernière grosse difficulté du parcours, la côte d’Ouanne.
Arrivé au sommet, je redescends prudemment sur Coulangeron (voir le virage dangereux évoqué par ailleurs) puis continue jusqu’à Avigneau. Je change ensuite de rive du ru de Baulches pour pouvoir monter en direction de Nantenne puis rejoindre Semilly. Là, je suis accueilli par l’odeur désagréable d’un hangar à volaille. On est bien loin de l’élevage en plein air de Coulangeron aperçu quelques kilomètres plus tôt.
Je pars ensuite en direction d’Escamps puis rentre par la route classique de Chevannes et Orgy.